Annuaire CCIFJ: les entreprises françaises au Japon

group of people watching on laptop

Au-delà de sa plateforme emploi dédiée à la recherche d’un travail au Japon, la Chambre de commerce et d’industrie France Japon (CCIFJ) édite également chaque année un annuaire qui regroupe l’ensemble de ses sociétés membres. Cette édition répertorie ainsi les contacts des entreprises, ce qui représente une aide précieuse pour qui veut réaliser son projet de travailler au pays du Soleil Levant. La plupart des entreprises françaises implantées au Japon sont d’ailleurs membres de la CCIFJ, ce qui permet d’avoir accès à une riche base de données, très utile pour toutes personnes en recherche d’emploi sur le marché japonais.  

S’aider de l’annuaire CCIFJ pour postuler dans une entreprise française

La candidature spontanée

Si vous souhaitez directement démarcher les entreprises au Japon, via des candidatures spontanées, ce répertoire professionnel est un allié de choix qui vous aidera à vous orienter vers les bonnes cibles et à trouver les coordonnées qu’il vous faut, tout en vous inspirant de nouvelles pistes à explorer. L’annuaire de la CCIFJ liste en effet les acteurs importants de la vie communautaire au Japon comme les associations, les établissements d’enseignement ou encore les services officiels. Attention toutefois, les candidatures spontanées doivent être consciencieusement réfléchies et mûries. Envoyer une centaine de candidatures, sans aucune personnalisation, réduira considérablement vos chances d’attirer l’attention sur votre profil. Vous devez adapter vos compétences et vos attentes aux entreprises ciblées. Il est conseillé d’affiner la sélection des entreprises à contacter pour miser sur la qualité, à l’inverse de la quantité qui est négative dans la recherche d’emploi.

La personnalisation du Curriculum Vitae

Envoyer une candidature à une entreprise qui ne correspond pas à son profil, c’est perdre malheureusement du temps précieux. Il est préférable de travailler son CV et son mini CV avec sérieux, tout en l’adaptant aux entreprises visées. Nous vous conseillons d’intégrer le mini CV (très tendance dans le monde du travail actuellement), au corps du mail, pour une brève présentation de vos compétences, de votre motivation et de votre personnalité. Il faut toujours garder en tête que, si le mail est lu par le destinataire, ce dernier ne lui accordera que peu de temps. Si son attention est retenue par votre présentation, il y a des chances pour que le CV soit alors consulté. La sélection intelligente des entreprises à contacter est une des clés de réussite des candidatures spontanées. Une fois votre CV à jour et votre mini CV accompli, l’annuaire de la CCIFJ deviendra votre répertoire référent pour trouver la bonne entreprise et surtout son contact, mail et téléphone. Si vous souhaitez le consulter gratuitement, vous pouvez vous rendre directement dans les locaux de la CCIFJ à Tokyo ou à Osaka. Si vous souhaitez l’obtenir pour le consulter à votre guise, chez vous, comme un outil de travail quotidien, vous pouvez le commander en ligne sur le site Internet de la CCIFJ.

Emploi et expatriation au Japon: le contenu de l’annuaire

Avec ses 678 pages, l’annuaire de la CCIFJ s’avère être un guide des plus utiles pour la vie au Japon. Au-delà d’être une aide précieuse lorsqu’il s’agit de trouver la bonne entreprise afin d’y postuler, cette édition annuelle liste les entités incontournables d’une bonne expatriation au Japon, entre associations, services officiels et autres organismes francophones. Chaque chapitre détaille, avec précision, la carte d’identité des entités en n’omettant aucune information pratique. Chaque fiche des membres comporte l’adresse postale de l’entreprise, les différents URL de consultation, le ou les contacts en lien avec la CCIFJ (nom, prénom, titre, téléphone et mail) ainsi qu’une brève présentation de l’activité, en français, en anglais ou en japonais. Le contenu de l’annuaire, exhaustif, comprend de nombreuses catégories dont voici la liste détaillée.

Membres de la CCIFJ

Les membres résidents Actifs et Bienfaiteurs

Ce chapitre de l’annuaire répertorie les membres résidents Actifs (350 environ) et Bienfaiteurs (80 environ), tous implantés au Japon. Ces membres de la CCIFJ sont véritablement impliqués dans l’ensemble des activités de la Chambre, à diverses échelles. Ils bénéficient ainsi de nombreux avantages, comme la participation aux événements organisés par la CCIFJ, une visibilité accrue, un droit de vote concernant les questions constitutionnelles et électives, etc. Se retrouvent dans ces deux catégories de membres, des entreprises prestigieuses telles que Chanel, Hyatt Regency Tokyo, Gameloft KK, le Crédit Agricole, Laurent-Perrier, Baccarat, MCDecaux, Michelin, L’Oréal, My Little Box, L’Occitane Japon ou encore Hachette Collections Japan, parmi tant d’autres.

Les membres Associés résidents au Japon

Avec environ 70 entreprises, les membres Associés résidents au Japon font partie des bénéficiaires des nombreux services et expertises qu’offre la Chambre. Se retrouvent dans cette catégorie, de nombreuses entreprises et institutions reconnues mondialement, telles que Agnès B., Toyoko Inn, Ladurée, Mauboussin, Médecins du Monde Japon, Essec, Espace Langue Tokyo ou encore Atout France.

Les membres non résidents

Comme son nom l’indique, ces membres ne sont pas implantés sur le territoire japonais mais travaillent en collaboration avec la CCIFJ sur des projets communs. Ces entreprises et entités sont également une source d’inspiration pour développer un projet professionnel en France. Parmi la quarantaine de membres se trouvent l’Edhec, le Centre Franco-Japonais de Management, Studio Harcourt Paris ou encore Kotoba.

Les membres individuels / Interprètes et Traducteurs

Ces membres sont des personnalités individuelles qui, dans le cas de la CCIFJ, ne sont rattachées à aucune entreprise.

Autres entités répertoriées par la CCIFJ

  • Ambassade de France
  • Services officiels et autres organismes français
  • Établissements d’enseignement
  • Associations
  • Chambres de Commerce Françaises en Asie-Océanie
  • Organismes européens
  • Chambres de Commerce de l’Union Européenne
  • Journalistes français au Japon

Le passeport pour les musées du parc de Ueno à Tokyo

tourists walking near the gate and food stalls at the ueno toshogu shrine in tokyo japan

Un passeport spécial est mis en vente pour permettre aux amoureux de culture de visiter une quinzaine de sites à un prix unique et préférentiel. Ciblé sur le parc de Ueno, au nord-est de Tokyo, un endroit qui regorge de musées et de sites de grand intérêt culturel, le “Ueno Welcome Passport“, qui est limité dans le temps, devrait faire le bonheur des touristes de passage, des expatriés avides d’en apprendre plus sur la culture du pays qui les accueille, et des Japonais, jeune et moins jeunes, soucieux de développer leurs connaissances sur divers sujets. Et en plus des visites, un jeu sous forme de course aux tampons a aussi été mis en place. Alors, comme pour tout voyage, la règle d’or est de ne pas oublier son passeport et d’apprécier au maximum sa visite !

Un passeport pour la culture au Japon

Le passeport spécial a été mis en place pour permettre aux personnes qui désirent visiter l’ensemble des musées et installations du parc de Ueno, incluant le zoo, d’y avoir accès avec un billet unique vendu au prix de 2000 yens (taxe incluse), soit environ 15 euros. Cela comprend toutes les expositions permanentes des musées et galeries listés dans le document officiel, sur la base d’une seule admission par passeport. Un passeport spécial est également proposé aux personnes intéressées par une exposition spéciale organisée dans l’un des sites accessibles. Ces passeports sont vendus 3000 yens (taxe incluse), soit environ 23 euros, et sont limités à 3000 tickets. Ils ne vous donnent accès qu’à l’une de ces expositions temporaires listées sur le site officiel, en cliquant sur l’onglet “Exhibitions ». Plusieurs pages s’affichent alors et proposent un ensemble d’expositions spéciales qui devraient rallier tous les goûts en matière culturelle.

Selon votre disponibilité, vos dates de voyages et/ou vos goûts et intérêts, cela s’avère nécessaire d’aller voir cette page traduite en anglais. Elle vous permet d’avoir une vue d’ensemble sur toutes les expositions du moment ou à venir et de faire le tri par des recherches appropriées selon les dates, les thèmes, le but et le site que vous choisirez. Ces deux passeports sont vendus pour une période limitée. Ils sont disponibles et valables durant cette durée fixée du 1er avril au 30 septembre pour l’année 2018. Le passeport comprend également une carte de Ueno afin que les visiteurs puissent explorer le parc et ses alentours entre deux visites. L’onglet “Outing Plans” permet d’organiser des promenades à thème dans le parc : l’architecture, les animaux et l’Histoire avec la période Meiji.

Les sites et musées de Tokyo accessibles avec le passeport

Le site officiel du parc de Ueno pris dans sa dimension culturelle décrit avec précision l’Histoire du parc, le premier à avoir ouvert au Japon (mai 1876), ainsi que les sites concernés par le passeport. Se situant tous dans le même lieu, leur localisation est facile à trouver et la carte disponible sur le site ou avec le passeport vous permet de tous les situer en un coup d’œil. Dix installations sont concernées par le passeport, et non des moindres : le Musée national de Tokyo, le Musée national de la Nature et des Sciences, le Musée national de l’art occidental, le zoo de Ueno, le Jardin de Kyu-Iwasaki-tei, le Musée de Shitamachi, le Musée de Sculpture Asakura, le sanctuaire Toshogu et certaines expositions du Musée d’art métropolitain de Tokyo et du Musée Royal de Ueno.

Une course aux tampons, tels que les aiment les Japonais, est également organisée sur la base de celles qui a lieu dans les gares de train ou les stations de métro à longueur d’année. C’est une fois en possession de 7 tampons minimum disponibles dans différents sites qu’on peut récupérer un prix exclusif. Et cette année, pour marquer la première apparition publique de XiangXiang, adorable bébé panda né dans le zoo de Ueno en juin 2017 et déjà grande star au Japon, des lots relatifs à cet événement sont proposés. La couverture du passeport est d’ailleurs illustrée d’un dessin de panda. La course amène les participants à visiter d’autres endroits autour du parc : l’Université des Arts de Tokyo, le Bunka Kaikan (Metropolitan Festival Hall de Tokyo, salle de spectacles, concerts, opéras et ballets), la Bibliothèque internationale de la Littérature pour Enfants et les Archives nationales d’architecture moderne. En montrant le passeport à ces quatre endroits, on peut aussi recevoir des cartes-postales souvenirs ! De quoi allier parfaitement l’utile à l’agréable pour un coût minimum !

Informations sur le « Ueno Welcome Passport »

  • Nom : “Ueno Welcome Passport“.
  • Lieu :Parc de Ueno (上野).
  • Adresse :

Taitō, Tokyo 110-0005.

台東区、東京110-0005.

  • Accès :
  • Train : lignes Yamanote (JR) ou Keisei.
  • Métro : lignes Ginza et Hibiya ou ligne Toei Oedo (station Ueno-okachimachi).
  • Horaires du parc :

Ouvert tous les jours, 24 heures sur 24.

  • Dates de validité et de mise en vente :

Du 1er avril au 30 septembre 2018.

  • Lieux de vente :

Ueno Tourist Federation, Ecute Ueno, Asakusa Culture and Tourism Center, Matsuzakaya Department Store (Ueno), Ueno Marui, Keisei Information Center (Narita Airport), Tokyo Tourist Information Center (Tokyo Metropolitan Government Office – Shinjuku).

Le zoo de Tama à Tokyo

Le zoo de Tama (多摩動物公園, たまどうぶつこうえん, Tama doubutsu kouen), ou parc zoologique de Tama, se situe dans la préfecture de Tokyo, à un peu plus de 45 minutes du centre-ville. Il est le plus grand parc zoologique au Japon. Installé au milieu des collines à l’ouest de Tokyo, il est un lieu prisé des amateurs d’animaux exotiques, ainsi que des habitants de la région qui viennent s’y promener les jours de beau temps.

Le plus grand zoo du Japon

Moins connu que d’autres zoos de l’archipel comme celui de Tennoji à Osaka, fondé en 1915, celui de Kyoto, fondé en 1903, et surtout celui de Ueno à Tokyo, fondé en 1882, le zoo de Tama à Tokyo n’en est pas moins l’un des plus importants du Japon. Fondé en 1958, il était initialement une annexe du parc zoologique de Ueno dont il est pourtant éloigné de plus d’une vingtaine de kilomètres. Zoo urbain comme ceux de Tennoji, Kyoto ou Ueno, il se distingue par sa superficie et ses objectifs. Avec 52 hectares (129 acres), il est un des plus grands zoos en ville au monde, derrière ceux du Bronx ou de Pekin, et surclasse ceux de nombreuses capitales comme celui de Vincennes, Londres ou Moscou qui ne dépassent pas les 20 hectares. Dans un environnement forestier et à cheval sur plusieurs collines, ce zoo offre aux animaux des conditions de vie privilégiées au regard de nombreux autres établissements du même type. Les animaux sont dans des enclos qui leur permettent de se déplacer dans un élément naturel et spacieux. Avec un peu de chance, le visiteur peut ainsi voir les guépards courir ou des chevaux mongols galoper. De même, la douzaine de girafes vit au milieu de reconstitutions de cases africaines, et les tigres observent les visiteurs à flanc de colline, sur des troncs, des rochers ou au bord d’une petite rivière artificielle.

Les trois zones du parc zoologique de Tama

Contrairement à celui de Ueno, vous ne trouverez pas de panda au zoo de Tama à Tokyo. Les animaux asiatiques sont pourtant bien représentés, puisque la faune d’Asie et d’Afrique sont originellement les thèmes de ce parc zoologique japonais. En 1984, pour célébrer le jumelage entre Tokyo et la région de Nouvelle-Galles du Sud en Australie, une troisième zone, dite “australienne” a été adjointe aux deux premières, avant qu’un insectarium ne soit aussi construit. Il n’y a pas de sens de visite du zoo de Tama, et chacun est donc libre de déambuler au gré de ses sens dans le parc. Néanmoins, une fois passés l’entrée monumentale avec ses statues d’éléphant, son restaurant ou sa boutique de souvenirs, vous entrez de facto dans la zone asiatique. Trois routes s’offrent à vous : à droite, en direction de l’insectarium et de la zone africaine, en face, vers la traversée d’une partie de la zone asiatique aboutissant à la zone australienne, et à gauche, avec une montée vers le sommet de la zone asiatique. Cette dernière peut être relativement commode puisqu’elle permet ensuite de redescendre vers les différentes zones du parc zoologique. Et pour ceux qui ne veulent pas se fatiguer trop rapidement, un mini-bus fait également la navette toutes les 10 minutes, vous amenant gratuitement dans la partie des chevaux asiatiques d’où vous pouvez ensuite commencer votre descente et entamer une visite qui ne durera pas moins de quatre heures, à la découverte des animaux du zoo de Tama !

Tarifs et accès au zoo de Tama à Tokyo

  • Adresse :

Tokyo-to, Hino-shi, 7-1-1, Hodokubo

  • Accès :

En train, ligne Keio ( station Tama Dobutsu Koen ), ou ligne Odakyu jusqu’à Tama Center et monorail (station Tama Dobutsu Koen)

  • Ouverture :

De 9h30 à 17 h, fermé tous le mercredis et du 29 décembre au 1er janvier.

  • Prix :

Adultes (16-64) : 600 yens

Seniors (65+) : 300 yens

Étudiants (13-15) : 200 yens

Enfants (0-12) : Gratuit

  • Autres informations :
  • L’entrée est gratuite les 4 et 5 mai ainsi que le 1er octobre.
  • L’entrée est gratuite pour les personnes handicapées et un accompagnateur.
  • 20% de réduction sont offerts aux titulaires d’une “Welcome Card” de l’Office du Tourisme japonais.

Hachiko, le chien fidèle japonais

Hachiko représente pour les Japonais ce qu’un chien a de plus remarquable, la fidélité envers son maître. Tout le monde connaît son histoire et cela dépasse même les frontières du Japon. Véritable icône, il symbolise à lui seul tout un quartier grâce à la statue qui a été érigée en son souvenir devant la gare de Shibuya. Même si nous connaissons chez nous sa version hollywoodienne, l’histoire de ce chien pas comme les autres mérite d’être approfondie tant elle est remarquable et continue de marquer l’esprit des Japonais.

La vie de Hachiko à Tokyo

Hachiko est né le 10 novembre 1923. Chien blanc de race Akita, il est adopté quelques mois plus tard par Hidesaburo Ueno, un professeur au département d’agriculture de l’Université impériale de Tokyo, l’actuelle Université de Tokyo. C’est lui qui lui donne son nom en référence à son huitième rang de la portée (Hachi signifie huit en japonais et ko est un terme affectueux signifiant prince). Rapidement, une belle relation s’installe entre eux et le professeur, qui habite dans le quartier de Shibuya, prend pour habitude d’amener son chien à la gare avant d’aller travailler. Hachiko connaît le chemin pour rentrer à la maison et le soir l’opération se répète en sens inverse, le chien attendant son maître sagement devant la gare, toujours à la même heure, pour le raccompagner chez lui. Le manège se rejoue à l’identique tous les jours jusqu’au 21 mai 1925 où Hachiko, alors âgé de 18 mois, ne voit plus revenir le professeur. Une hémorragie cérébrale a terrassé ce dernier sur son lieu de travail et il ne reviendra plus jamais.

Cependant, cela n’altère pas la loyauté du beau chien Akita qui suivra le même chemin dès le lendemain et les jours suivants. Rien ni personne ne peut le dissuader, même pas les proches du professeur qui ont fini par prendre le fidèle compagnon à quatre pattes sous leurs ailes, et les jours défilent avec toujours le même épilogue. Le 4 octobre 1933, un article du journal Asahi Shinbun titré « l’histoire émouvante d’un vieux chien qui attend son maître décédé depuis sept ans » permet au Japon tout entier de connaître Hachiko. Le chien devient très célèbre et les marques d’affection sur son lieu d’attente sont nombreuses. Deux ans plus tard, le 8 mars 1935, alors qu’il est âgé de 11 ans et qu’il a attendu son maître tous les jours à la même heure pendant neuf ans, Hachiko meurt des suites d’une maladie. Symbole national de la loyauté, il est empaillé et conservé au Musée national de la nature et des sciences de Tokyo et ses cendres reposent auprès de son maître dans le cimetière d’Aoyama.

Des statues et des films au Japon

Un an avant sa mort, des journaux avaient suggéré l’idée d’ériger une statue en bronze en l’honneur du chien et en avril 1934 un monument est implanté devant la gare de Shibuya, à l’endroit même où il attendait son maître. La petite histoire raconte même qu’Hachiko était présent à l’inauguration de sa statue. Mais en raison de la pénurie de métaux, elle a dû être fondue pour les besoins de la guerre. C’est en août 1948 qu’une nouvelle statue du fidèle compagnon en position d’attente est réinstallée au même emplacement, faisant de ce spot, appelé aussi Chuken pour « chien fidèle », un des endroits les plus populaires de Shibuya, le lieu de rendez-vous privilégié des Tokyoïtes quand ils se retrouvent dans le quartier et une attraction immanquable pour les touristes étrangers. La statue est parfois habillée, tout le temps encerclée par des dizaines de gens (prendre une photo sans personne autour relève de l’exploit) et une cérémonie en l’honneur d’Hachiko a lieu tous les ans le 8 avril. Si vous avez de la chance, un chat vient même parfois se glisser entre ses pattes pour se reposer à l’abri des flash. Alors qu’une statue similaire avait été érigée en 1935 devant la gare d’Odate, dans la Préfecture d’Akita d’où est originaire Hachiko, avant d’être fondue pour la guerre et remplacée en 1986, un petit sanctuaire en son honneur se trouve aussi dans la gare. Une nouvelle statue a aussi été érigée devant le musée du chien Akita de la même ville, jumelée à Shibuya, en 2004.

Pour les 80 ans de la mort d’Hachiko, une statue a été érigée le 9 mars 2015 dans l’université de Tokyo, celle-là même où travaillait le professeur Ueno (et où il est mort). Toujours de bronze, elle réunit cette fois le chien loyal et son maître dans une posture émouvante qui nous ramène au temps où les deux amis se retrouvaient à la gare de Shibuya. Le harnais que porte le chien est le même que celui qu’on peut voir sur sa dernière photo et l’expression de joie qui se lie sur les deux visages immortalise à la perfection cette relation unique qui unissait le professeur Ueno à son fidèle compagnon. Si vous voulez voir cette statue, il faut prendre la ligne de métro de la Nanboku Line jusqu’à la station Todaimae. La littérature et le cinéma ont également fait entrer Hachiko dans la postérité avec un film japonais de 1987, Hachiko Monogotari, et sa version moins authentique et plus hollywoodienne Hachi, sorti en 2009, avec Richard Gere. A noter enfin que les Japonais ont retrouvé avec cette fabuleuse histoire un nouvel intérêt pour les chiens de race Akita qui était alors presque éteinte.

Un vol pas cher aller-retour pour le Japon

Venir au Japon avec un billet d’avion pour un vol aller-retour le moins cher possible, c’est le souhait de beaucoup de gens. Et contrairement à ce que peuvent en penser certain(e)s, ce rêve est devenu accessible. S’il fallait passer avant l’avènement d’Internet par des agences de voyages, “la Toile” a permis à une multitude d’entreprises de s’implanter sur le même marché en proposant une large sélection de billets d’avions vers les aéroports japonais “low cost”, c’est-à-dire à des prix accessibles. Et qui dit grosse concurrence dit aussi possibilité d’offres intéressantes mais surtout choix commercial immense et donc difficultés pour prendre la bonne décision. À moins que vous ne tombiez immédiatement sur l’offre qui correspond parfaitement à ce que vous recherchez en matière de compagnie, de budget et de disponibilités, la recherche du billet “parfait” peut être très longue. Il existe tellement de critères qui entrent en jeu, comme le moment auquel vous faites votre réservation par rapport à la date du départ, que nous ne saurions par cet article vous garantir les meilleurs prix du marché. Il n’y a de plus pas de recette miracle pour savoir quel est le bon moment pour réserver. Néanmoins, voici quelques pistes qui devraient pouvoir vous aider à trouver un billet aller-retour pour le Japon en-dessous de 700 euros afin de bien calculer votre budget et d’organiser dans les meilleures conditions votre futur voyage au pays du soleil levant !

Les comparateurs de vols pour un voyage abordable vers le Japon

Les comparateurs de vols

La première solution consiste à faire confiance à un comparateur de vols. Il sont très nombreux sur Internet et tous jouent sur les mêmes pratiques de tarification qui consistent à adapter les prix en permanence en fonction de l’offre et de la demande, du moment et du contexte. Très faciles d’accès et disponibles en plusieurs langues, vous n’avez bien souvent qu’à indiquer les villes de départ et d’arrivée, les dates et le nombre de personnes. D’autres filtres peuvent être adjoints à votre recherche pour cibler encore plus le billet de vos rêves, même si ces critères personnalisés serviront aussi aux entreprises à mieux cerner vos besoins. Cela concerne la durée, la compagnie, le nombre d’escales, l’heure de départ, l’aéroport d’arrivée, la durée souhaitée du voyage… Certains comparateurs offrent une panoplie de prix selon que vos dates soient plus ou moins flexibles. Et en matière de billets d’avion et de recherche sur Internet, la flexibilité est primordiale et peut vous faire économiser de l’argent tant les prix peuvent évoluer d’un jour à l’autre. Si vous le pouvez, n’hésitez donc pas à rechercher des billets sur plusieurs dates. Changer d’aéroport peut vous faire également économiser de l’argent si vous parvenez à vous organiser en fonction. Par exemple, un vol aller-retour Tokyo-Marseille est plus cher qu’un Tokyo-Paris. Reste après à joindre les deux plus grandes villes françaises et des solutions abordables existent pour cela. A vous ensuite de bien étudier toutes les possibilités et voir si le temps passé dans les transports vaut l’économie réalisée pour un tel voyage.

Les comparateurs de comparateurs de prix

Il existe également à côté de ces sites qui comparent les prix proposés par différentes compagnies aériennes aux dates que vous choisissez d’autres sites qui alignent les offres de ces comparateurs et les comparent à leur tour. Attention toutefois, tous les prix affichés sont ceux trouvés au moment de la recherche. Un rafraîchissement de la page peut faire augmenter le prix, et celui-ci ne sera peut-être pas le même si vous revenez le lendemain ou même quelques heures plus tard. De plus, avant d’arriver à la section paiement, d’autres options auront pu vous être proposées, comme une location de voiture, d’un hôtel, un enregistrement prioritaire ou une alerte par mail, la principale restant celle de l’assurance (annulation, retard, bagages) qu’il vous faudra bien étudier. Avec en plus les frais de dossiers qui s’ajoutent souvent avant d’arriver à la section “paiement” et qui gonflent la note finale, vous pouvez vous retrouver à plusieurs dizaines d’euros du prix initial que vous avez sélectionné. En vous y prenant plusieurs mois à l’avance, vous pourrez néanmoins trouver des billets intéressants et partir en vacances en ayant déjà économisé de l’argent sur votre budget. Attention aussi, ces sites n’assurent pas toujours le service client dont vous pourriez avoir besoin en cas de problème. C’est un risque contre lequel une bonne assurance devrait pouvoir vous garantir. L’avantage de tout ceci est quand même d’avoir accès à un large choix de prix avec parfois des compagnies aériennes réputées plus chères en temps normal.

Les compagnies aériennes

À côté de ces comparateurs de prix qui vous proposent tous de vous garantir les meilleurs prix du marché se trouvent évidemment les sites des principaux intéressés en matière de vols et de billets d’avions, les compagnies aériennes. Elles sont extrêmement nombreuses à travers le monde et ont chacune leurs offres. L’avantage de passer par les compagnies est que vous traitez directement avec elles sans passer par un intermédiaire et que, en cas de souci, le service client sera plus à même de vous répondre, ce qui n’est pas forcément le cas avec les sociétés intermédiaires. L’autre avantage est que, comme dans beaucoup de domaines, vous pouvez devenir membre, abonné ou privilégié par rapport à un programme de fidélité qui devrait vous donner droit, après plusieurs voyages avec elle, à des avantages, sous forme de miles par exemple, qui pourront se transformer à terme en voyages à coût réduit. Rien ne vous empêche également d’aller traiter directement avec la compagnie une fois que vous avez repéré un prix intéressant sur l’un des comparateurs, même si le prix affiché sur le site de celle-ci sera généralement plus élevé. Mais dans tous les cas, les mêmes remarques que celles posées dans les deux paragraphes précédents s’appliquent, à savoir qu’il faudra jouer sur la flexibilité pour essayer de grappiller quelques euros, et ne pas trop attendre pour acheter le billet qui vous a tapé à l’œil. Les prix ne sont valables qu’au moment de leur affichage et ils peuvent vite évoluer dans le domaine du transport aérien. C’est une notion à toujours garder à l’esprit, quel que soit le moyen utilisé pour réserver son billet !

Exemples de comparateurs pour un vol vers Tokyo

Google Flights

“Google Flights” ou sa version française “Google Vols” est un comparateur qui fonctionne de la même façon que les autres. Le géant américain Google a mis en place ce service en 2011 aux États-Unis et, s’il s’adressait principalement au public américain à ses débuts, il est désormais une sorte de référence en la matière. La flexibilité est toujours de mise lorsque vous recherchez le billet au meilleur prix, ce qui signifie que vous pouvez parfois économiser quelques précieux yens si vous pouvez déplacer votre départ et/ou votre arrivée d’un ou deux jours. De même, les avions et aéroports étant généralement plus fréquentés le week-end, et encore plus pendant les vacances, une recherche sur des jours en-dehors de ces périodes pourra là aussi faire apparaître des résultats plus intéressants. Mais “Google Flights” propose également une flexibilité au niveau de l’aéroport à proximité de celui que vous cherchez à rejoindre. Par exemple, pour rester avec le cas de figure précédent, atterrir à Nice plutôt qu’à Marseille vous fera généralement économiser de l’argent, encore faut-il trouver une solution pour joindre les deux villes (train, bus, covoiturage) et ne pas se retrouver au final perdant dans l’histoire. Le service pourra ainsi vous aiguiller vers des solutions plus économiques quand il y en a, sur un autre aéroport ou à d’autres dates par exemple. Dans tous les cas, le moteur de recherche est très rapide et le temps d’attente pour avoir accès aux meilleures offres du moment très court, de sorte que vous pouvez enchaîner plusieurs recherches dans un laps de temps raisonnable. Quand vous sélectionnez une offre, “Google Flights” vous met directement en lien avec la compagnie via un numéro de téléphone et à un service d’alerte. Ce service pratique vous permet de recevoir un mail si le vol que vous avez sélectionné est susceptible d’évoluer.

Skyscanner

Skyscanner se présente comme les autres sites avec une interface similaire, le choix de langue, de monnaie et les trois principales touches de recherche : vols, hôtels et location de voiture. Après une première version mise en ligne en 2002, la société basée à Edimbourg a depuis bien évolué pour étendre ses recherches au monde entier. Cité et reconnu à de nombreuses reprises pour avoir trouvé les prix les moins chers, ce site sert de lien entre l’utilisateur et la compagnie aérienne qui l’intéresse ou le site-comparateur qui propose les meilleures offres pour finaliser la réservation. Il est également possible dans sa recherche d’ajouter des aéroports à proximité de celui indiqué pour le départ et / ou l’arrivée, de sorte que vous aurez plusieurs alternatives à choisir parmi les prix affichés. De même, à titre de comparaison, un système de carte vous permet de voir en un coup d’œil les prix de toutes les destinations possibles au départ de la ville sélectionnée et un graphique de prix aux dates alentour. Dès que vous lancez une recherche, les offres les moins chères, les meilleures (rapport entre la durée du vol et son prix) et les plus rapides (mais pas les moins chères) s’affichent et il est possible, comme précédemment, de créer une alerte sur le vol retenu afin d’être prévenu en cas de hausse susceptible de se produire dans les prochaines heures.

Jetcost

Dans le domaine des billets d’avion pas chers, Jetcost.com, lancé en 2006, est un comparateur de sites qui cherchent déjà les meilleurs prix parmi plusieurs dizaines de compagnies aériennes. Autant dire que les premiers résultats qui s’affichent devraient théoriquement être les plus bas du marché, d’autant plus que le site affirme sur sa première page ne pas faire payer de frais supplémentaires. Une fois que vous avez fait votre recherche et sélectionné un vol à partir des différents critères que vous avez indiqués au départ, le site vous renvoie vers la compagnie aérienne ou le comparateur qui vous a donné le résultat le plus séduisant.

Exemples de compagnies aériennes qui desservent le Japon

Le choix est là encore très vaste et on peut perdre énormément de temps à consulter les offres de chaque compagnie, surtout si les dates sont flexibles et que les combinaisons sont multiples. Elles sont généralement plus chères que sur les comparateurs mais elles peuvent afficher sur leurs sites à certaines périodes des offres spéciales ou des promotions qui peuvent être intéressantes si elles correspondent à vos dates. Reportez-vous aussi aux avis des utilisateurs sur TripAdvisor par exemple. Il ne faut pas tout prendre au comptant, tant les avis peuvent être divergents selon les expériences et les bonnes ou mauvaises impressions, mais ils peuvent quand même vous donner une indication sur la compagnie et sur ce qui vous attend à bord. Ce qui peut souvent revenir est la mise en avant du rapport qualité/prix et ce que cela implique de choisir un vol à bas coût. Choisir une compagnie étrangère impliquera nécessairement une ou deux escales, ce qui rallonge la durée de vol. De plus, elle ne vous accueillera pas forcément en français et l’anglais devrait être de mise à tous les niveaux. Choisir Air France, qui a fêté en 2017 les 65 ans de sa ligne Paris-Tokyo et qui peut avoir aussi à certains moments des bons plans, présente l’avantage non négligeable d’avoir des vols directs et de vous éviter ce souci d’interprétation, mais cela a un coût certain que le service à la française vaut bien. Enfin, si vous avez déjà utilisé les services de la compagnie que vous avez sélectionné, vous pouvez généralement bénéficier d’un programme de fidélité mis en place par celle-ci qui pourra encore faire infléchir les prix. Voici pour finir une petite sélection de compagnies avec lesquelles des prix bas ont pu être constatées.

Aeroflot

Aeroflot est la compagnie russe qui permet de joindre l’Europe à l’Asie en faisant une escale à Moscou-Sheremetyevo, l’un des meilleurs aéroports d’Europe. Vous n’avez pas besoin de visa pour cette escale si vous ne sortez pas de la zone internationale et pouvez profiter d’un large ensemble de magasins et restaurants en attendant le deuxième vol. Les prix affichés sur le site (ou chez les comparateurs) sont souvent parmi les meilleurs du marché et la compagnie offre un bon rapport qualité/prix général. Le site a une interface en français et vous propose un onglet avec des offres spéciales.

Alitalia

Alitalia est la première compagnie aérienne italienne. Elle a été créée en 1946 et propose des prix abordables sur son site si l’on s’y prend suffisamment à l’avance. Comme la compagnie russe Aeroflot, elle appartient à l’alliance Skyteam qui regroupe 20 membres (dont Air France, un des membres fondateurs).

Air China

Les compagnies chinoises affichent souvent les meilleurs prix du marché pour des vols aux mêmes dates. Il faut cependant savoir où l’on met les pieds et s’assurer d’être bien en règle avant le départ. Si vous choisissez cette compagnie, pensez bien à vérifier que vous n’aurez pas de changement d’aéroport au moment de l’escale et sachez que le visa peut vous être imposé, même s’il ne s’agit que d’une escale de quelques heures. Gratuit en-dessous de 24 heures, il faudra néanmoins le demander une fois arrivé(e) à l’aéroport, ce qui peut prendre du temps et vous en faire perdre pour la connexion. Attention donc à bien vous renseigner avant le départ, cela peut vous faire gagner un temps précieux et ne pas vous faire rater votre deuxième vol si le temps entre les deux (ou si le premier a pris du retard) est court.

Hanada et Narita: Les aéroports de Tokyo

Pour une arrivée à Tokyo, comme c’est le cas pour la plupart des touristes étrangers, surtout si c’est la première fois qu’ils se rendent au Japon, deux aéroports peuvent apparaître dans les recherches : Narita et Haneda. Le premier est la porte d’accès au Japon dans la majorité des cas. Il se trouve dans la préfecture de Chiba et à 70 km de la capitale japonaise. Le second est l’aéroport de Tokyo. Il se situe à une vingtaine de kilomètres du centre-ville mais il est plus utilisé pour les vols internes et les compagnies asiatiques. Plusieurs solutions existent pour relier ces deux aéroports au centre-ville de Tokyo et cela pourra aussi avoir un impact sur votre budget et votre timing, à l’arrivée comme au retour. Pensez aussi à cela lorsque vous faites votre réservation car au final cela peut s’avérer important d’avoir quelques heures et quelques yens en plus sur le programme, surtout si les horaires des vols sont matinaux ou tardifs. Pour votre prochain vol vers le Japon, n’hésitez pas à consulter notre article spécialement réalisé sur le transport de Narita à Tokyo afin de vous en faire une meilleure idée. Et surtout ne perdez jamais à l’esprit que, quelle que soit la compagnie que vous choisirez, c’est elle qui vous permettra de réaliser un rêve. Et ça, ça n’a pas de prix !

Quinze sites pour voir les cerisiers en fleurs au Japon

Les sakura (cerisiers japonais) se laissent observer partout au Japon quand revient le printemps. Il faut juste être au bon endroit et au bon moment pour pouvoir admirer pleinement la couleur rose pâle que prennent les cerisiers japonais pendant leur floraison. Cette période est chérie des Japonais parce qu’elle marque dans la plus grande partie de l’île la fin de l’hiver et donne l’occasion à de grands moments de convivialité dans les parcs ou sous les sakura en fleurs. Si vous avez la chance d’être au Japon à cette période, que beaucoup disent la meilleure pour visiter le pays, vous tomberez nécessairement sur des spots admirables et vous laisserez sans doute tenté(e) par la coutume du pique-nique. Mais si vous tenez à vivre le meilleur de “l’expérience sakura“, nous avons sélectionné un ensemble de lieux reconnus à travers tout le Japon. En fonction du calendrier de floraison des sakura (que vous retrouvez grâce au bouton ci-dessous), ces lieux qui sortent parfois des sentiers battus ne devraient pas manquer de vous laisser des souvenirs impérissables teintés de rose !

Les sites des cerisiers japonais sur la carte du Japon

Les 15 sites que nous avons répertoriés dans cet article se trouvent dans 13 zones du Japon. Vous pouvez donc voir en un seul coup d’œil leur localisation sur cette carte et vous rediriger directement vers le(s) site(s) associé(s) à ce numéro. Ils partent de l’extrême sud à Okinawa jusqu’au nord à Hokkaido, sans oublier le centre du pays et son emblême, le Mont Fuji.

Carte de sakura: les treize zones du Japon

1. Les ruines du château de Nago à Okinawa

Nous commençons notre voyage tout au sud du Japon puisque le château de Nago se situe à Okinawa. Les températures y sont agréables tout au long de l’année et la floraison des sakura commence ici dès la mi-janvier. Si le Parc Yogi de Naha offre des vues également spectaculaires, le festival des sakura de Nago reste immanquable dans la région. Ce sont 20.000 cerisiers qui fleurissent ici et qui donnent au paysage un véritable aspect féerique, avec les ruines de ce château du XIVème siècle. Et si l’on choisit de monter dans les hauteurs de la ville, le rose des cerisiers associé au vert émeraude de la mer de Chine orientale d’un côté, et de la mer de Philippine de l’autre, donnent un aspect encore plus magique à la carte postale.

2. Le parc de château de Kumamoto

Nous remontons vers l’île principale du Japon mais faisons une halte d’abord sur celle de Kyushu où les sakura commencent à éclore vers fin mars – début avril. Même s’il a subi de gros dégâts lors du tremblement de terre de 2016, l’un des plus grands et plus beaux châteaux du Japon, vibrant témoignage de son passé médiéval tourmenté, et son parc qui possède un millier de sakura, est considéré comme l’un des meilleurs spots de tout Kyushu pour admirer les cerisiers en fleurs et partager une bière ou deux.

3. L’île de Miyajima à Hiroshima

Au large d’Hiroshima, l’île de Miyajima est déjà considérée comme l’un des trois plus beaux endroits du Japon, avec notamment le torii rouge qui annonce l’entrée d’Itsukushima. La marée haute, qui transforme ce site classé au patrimoine mondial en un véritable sanctuaire flottant, et les 1300 cerisiers qui entourent le lieu sacré et bordent les chemin de l’île font de ce lieu un endroit encore plus magique lorsque les cerisiers se drapent de rose. Dans la ville, le château d’Hiroshima et son parc du mémorial de la paix, déjà très impressionnants en temps normal, font partie des lieux incontournables si vous êtes dans la région à ce moment. Si vous sortez de la ville, à Onomichi qui se situe à 70 km à l’est, le parc de Senkoji est également un superbe endroit avec ses 1500 cerisiers qui, à la nuit tombée, sont éclairés par les lanternes en papier du temple qui porte le même nom. Le panorama que l’on a au sommet de la montagne dominant le parc est également un lieu très populaire.

4. Le château de Himeji

Comme la plupart des châteaux au Japon sont entourés de cerisiers, c’est donc logiquement que le plus grand et plus impressionnant château du pays se retrouve dans cette liste comme endroit parfait pour admirer les sakura. La visite de l’un des plus anciens bâtiments du Japon médiéval, dont la construction a commencé en 1346, inscrit au patrimoine de l’UNESCO depuis 1993 et désigné comme trésor national, est un passage obligé si vous êtes dans les alentours au début du mois d’avril. Il a su résister aux incendies, aux guerres et aux tremblements de terre pour vous offrir une vision que vous devriez garder longtemps en mémoire, encore plus belle depuis sa réouverture, après restauration, en 2015.

5. Le temple Daigo-ji à Kyoto

C’est clairement toute la ville de Kyoto qui, déjà splendide en temps normal, prend encore une autre dimension au moment des cerisiers en fleurs. Les touristes le savent bien et les hôtels sont réservés longtemps à l’avance pour être sûr d’avoir sa chambre pendant la période de floraison et admirer les abords des temples et des sanctuaires. Le temple Daigo-Ji par exemple, un des monuments historiques classés au patrimoine mondial de l’humanité, comprend plusieurs structures dont le “Golden Hall” (salle dorée) et une pagode de cinq étages, tous deux faisant partie des 18 trésors nationaux du Japon que possède le temple. Avec plus de 700 cerisiers que le gouverneur féodal et deuxième unificateur du Japon, Toyotomi Hideyoshi (1537-1598), fit planter, c’est un endroit très prisé des touristes pendant la période des sakura avec le majestueux temple en arrière-plan.

5. La promenade du philosophe à Kyoto

Nous restons à Kyoto avec ce chemin pédestre très connu des touristes qui tient son nom d’un philosophe japonais, Nishida Kitaro (1870-1945). Pour se rendre à l’université où il enseignait, il empruntait quotidiennement ce chemin long d’environ deux kilomètres et méditait tout en marchant. Bordés de temples, sanctuaires, restaurants, cafés et boutiques, c’est un endroit majeur pour la contemplation des cerisiers en fleurs, à Kyoto et au Japon. Longeant un canal, il incite nécessairement la méditation sur le temps qui passe, sur les traces de ce grand philosophe. Si une bonne demi-heure est nécessaire pour le parcourir, vous devriez avoir besoin de plus de temps si la visite de ses attractions et la réflexion sur la vie que pourraient vous inspirer ces fleurs le nécessitent.

6. Le Mont Yoshino dans la préfecture de Nara

Bien qu’il se trouve au milieu de notre classement, c’est le meilleur endroit pour admirer les sakura au Japon. Cette montagne, qui possède selon l’Office national de tourisme japonais 30.000 cerisiers, est très célèbre pour les paysages enchanteurs qu’il offre à ses visiteurs pendant l’éclosion des sakura. Ce site figure également sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité et les chemins qui mènent à son sommet deviennent un véritable lieu de pèlerinage pour des milliers de Japonais. Avec les différentes variétés de cerisiers sur le mont et leur décalage dans la floraison, la période dure ici plus longtemps que dans le reste du pays. Associé à une nuances de couleurs en fonction de l’altitude, le tableau naturel qui se peint devant vos yeux est à la hauteur de l’émerveillement qu’il suscite au Japon depuis toujours.

7. Le jardin de Kenrokuen à Kanazawa

Reconnu pour être l’un des plus beaux jardins paysagers du Japon, c’est un endroit magnifique à tout moment de l’année et qui prend toute sa dimension au moment des sakura en fleurs. Et en termes de dimensions, celles du jardin, qui est fier de compter 420 pieds de cerisiers se répartissant en 20 espèces, sont immenses. Durant la floraison, l’entrée, qui coûte normalement 310 yens pour les adultes et 100 yens pour les moins de 18 ans, est gratuite et les lumières qui illuminent le jardin donnent un aspect féerique à l’ensemble.

8. Le château de Nagoya

Encore un endroit magnifique pour observer les sakura avec en arrière-plan un monument historique de toute beauté. Un millier d’arbres de dix espèces différentes dévoilent leur éclatante couleur dans le parc qui se trouve aux abords du château. Les photographes devraient apprécier particulièrement cet endroit quand le château, construit en 1612, s’illumine pour dévoiler toute la poésie de l’événement et la beauté des pétales accrochées pour quelques jours encore à leurs fleurs.

9. Les ruines du château de Takato à Nagano

C’est le troisième meilleur spot du Japon pour l’observation des sakura, à Ina City, dans la préfecture de Nagano. Ce château et les ruines qu’il en a laissées à la suite de son abandon en 1871, se situe en haut d’une colline et, tout comme le mont Yoshino, il faudra un peu d’efforts pour les apprécier pleinement avec les cerisiers qui les entourent. Comme lors de tous les festivals japonais, des échoppes ambulantes appelées yatai devraient vous permettre d’affronter ce regain d’activité avec rafraîchissements et snacks toujours bienvenus. Le parc s’illumine en soirée et magnifie encore plus ce site remarquable.

10. Le Mont Fuji

Ce n’est pas ici un endroit en particulier mais un site dans son ensemble. Volcan actif de 3776 mètres et plus haut sommet du Japon, il en est aussi son symbole. Les cerisiers ne sont pas sur ses flancs et vous n’aurez pas à le gravir pour les apprécier (l’ascension n’est de toute manière possible qu’en été). Mais toute la région autour mérite le déplacement pour ses vues imprenables sur la montagne sacrée et ses spots d’observation des sakura, qui vous permettront d’associer sur une même photo, vidéo ou carte postale deux icônes nationaux. La région autour du volcan est très vaste et les sites d’observation très nombreux mais Hakone et la région des Cinq Lacs devraient vous satisfaire. Sans oublier le festival Shibazakura pour les cerisiers pelouse qui éclosent après les sakura et associent encore les fleurs au Mont Fuji dans une explosion de couleur phénoménale.

10. Le Jindai Zakura de Yamataka

À 70 km du Mont Fuji, à Hokuto, dans la préfecture de Yamanashi, le sakura appelé Jindai Zakura, qui aurait selon les estimations entre 1800 et 2000 ans, est le cerisier le plus vieux du Japon. Et il n’est pas prêt d’arrêter son activité puisqu’il continue à fleurir chaque année, faisant le bonheur des Japonais qui viennent en nombre se faire photographier avec lui au moment où il s’habille de sa robe rose. Le cerisier se trouve dans l’enceinte du temple Jisso-ji. L’arbre de 12 mètres de haut est très impressionnant, surtout lorsqu’on imagine toutes les périodes et les floraisons qu’il a dû vivre, et la visite autour de ses branches en fleurs est un moment inoubliable.

11. Le parc Hanamiyama à Fukushima

Nous attaquons la dernière partie de cette liste de sites admirables d’observation des sakura par l’un des plus beaux endroits dans la région de Fukushima. Le Parc Hanamiyama, qui signifie littéralement “la montagne pour observer les fleurs” se situe sur les pentes d’une colline. Ouvert au public en 1959, sa grandeur et la large variété de cerisiers qui ont été plantés ici par des fermiers procurent une grandeur à l’ensemble et une diversité de palettes remarquables.

12. Le château de Hirosaki

Au nord de l’île de Honshu, le château d’Hirosaki, construit en 1611, est considéré comme le second plus beau site d’observation des sakura au Japon. Beaucoup de châteaux figurent dans notre liste tant ils apportent un cachet unique à l’événement et à l’association qu’ils forment avec les fleurs symboliques de sakura. Le parc, avec ses 2500 cerisiers, ses illuminations nocturnes et ses aires de pique-nique admirablement aménagées, offre un panorama splendide sur le château et des moments de contemplation intenses. Le rose dont se pare les cerisiers du parc est toujours aussi riche et la saison de floraison commence ici plus tard que dans le reste de Honshu.

13. Le parc de la forteresse de Goryokaku à Hokkaido

Nous finissons notre tour avec l’île la plus septentrionale des quatre principales du Japon, Hokkaido. C’est là que l’hiver est le plus rude, que le printemps met le plus de temps à s’installer et que se termine la saison de floraison des sakura. La forteresse de Goryokaku d’Hakodate présente la particularité d’avoir été dessinée sous une forme très spéciale inspirée par les techniques de construction françaises, une étoile. En 1914, elle est devenue un parc et des milliers de sakura ont été plantés à cette occasion. Une tour de 107 mètres de haut permet d’apprécier la forme de la forteresse, classée site historique, et le voile rose qui se pose dessus vers la fin du mois d’avril, pour le plus grand bonheur des petits et des grands.

Cinq parcs incontournables où admirer les sakura à Tokyo

D’après les dates de floraison, les fleurs de cerisiers s’apprêtent à pointer leurs pétales roses dès la mi-mars dans la capitale japonaise pour offrir un spectacle féerique à tous les promeneurs émerveillés, que l’on soit dans la rue, dans un parc ou encore en bord de rivière. Tokyo regorge littéralement de lieux propices à la découverte des sakura, éparpillés d’est en ouest, du nord au sud. Malheureusement, le temps nous manque cruellement pour quadriller la ville d’un lieu magique à un autre. Dans le but d’aider à la création du parfait carnet de route des cerisiers tokyoïtes, nous vous dressons aujourd’hui une liste, non exhaustive, des cinq parcs de Tokyo qui ne failliront pas à la mission d’enchanter le promeneur, que ce soit pour une balade contemplative ou un hanami festif.

Admirer les cerisiers en fleur à Tokyo

Shinjuku Gyoen

Ce parc de Tokyo est définitivement un indétrônable de la période des cerisiers en fleurs dans la capitale japonaise, et pour cause. Avec environ 1500 cerisiers, le parc possède de précieux atouts pour enchanter toute personne qui s’y aventure. Aujourd’hui sous la juridiction du ministère national de l’environnement, Shinjuku Gyoen est un écrin poétique pour un hanami accompli. Sa grandeur (58 hectares environ), le nombre de cerisiers et son architecture paysagère offrent un cadre idyllique pour une balade printanière. L’endroit se prête merveilleusement bien à la philosophie du carpe diem, la bâche glissée sur le sol et les yeux rivés sur les branches tout de rose vêtues. De style français, anglais et japonais, Shinjuku Gyoen est le parfait compagnon de voyage pour une pause bien méritée. Attention tout de même, l’entrée vous coûtera 200 yens et vos sacs et glacières seront gentiment fouillés aux portes du parc, car ici, l’alcool est interdit. 

Horaires

  • 9h00 – 16h00

Tarification

  • 200 yens

Adresse

  • 11 Naitomachi, Shinjuku, Tokyo 160-0014

Le parc de Yoyogi

A quelques encablures de la station Harajuku, haut lieu de la mode branchée tokyoïte, le parc de Yoyogi mérite amplement sa place dans le carnet de voyage spécial sakura à Tokyo. Son atmosphère particulière, liée aux six cents cerisiers plantés à travers le site, assure un hanami festif sous le toit fleuri que forment les branches des arbres. Très apprécié des Japonais et des touristes émerveillés, le parc de Yoyogi impose alors une certaine rigueur à celles et ceux qui souhaiteraient profiter du moment en famille ou entre amis. En effet, pour obtenir un emplacement de choix et installer sa bâche en plastique prête pour le pique-nique, il est fortement conseillé de se rendre au parc au petit matin. Une fois installé sous les sakura, le kanpai convivial aura alors une saveur unique.

Horaires

  • 24h/24

Tarification

  • Gratuit

Adresse

  • 2-1 Yoyogikamizonocho, Shibuya-ku, Tokyo

Le parc de Ueno

A voir le monde qui s’y bouscule lors de la période des cerisiers en fleurs, le parc de Ueno jouit d’un succès fou auprès des amateurs de sakura. Au printemps, le spectacle offert par le parc est un enchantement pour les yeux et la balade le long de l’allée centrale est un véritable plaisir. Avec huit cents cerisiers environ, le lieu est également propice aux pique-niques festifs, du matin jusqu’à la nuit tombée. On se presse de réserver une place sur les côtés de l’allée principale, espérant trouver un petit carré de terre encore libre. L’ambiance dynamique et populaire accentue le côté convivial du parc de Ueno, qui n’offrira pas la quiétude d’une parenthèse enchantée, mais qui distillera une atmosphère de fête comme on aime. Et même si la nuit tire le rideau un peu vite au Japon, les lanternes du parc seront là pour épauler les plus fêtards, ravis de partager une dernière “bière sakura” dans un climat plus tamisé.

Horaires

  • 05h00 – 11h00

Tarification

  • Gratuit

Adresse

  • Uenokoen, Taito-ku, Tokyo

Le parc Inokashira

C’est dans le quartier très attrayant de Kichijoji que l’on retrouve notre prochain coup de cœur, et non des moindres. Ce merveilleux poumon vert, à quelques dizaines de minutes de la gare de Shibuya en train express, est un incontournable des balades tokyoïtes, à toutes les saisons. Le printemps rehausse la beauté du lieu lorsque les cinq cents arbres de sakura fleurissent sur les bords du lac, là où une myriade de pédalos trace son chemin sur l’eau. Le cadre du parc est un hymne au printemps et à son ambiance décontractée. Les couples pédalent en amoureux en contemplant les branches roses qui plongent dans l’eau, pour un reflet des plus saisissants. Les familles s’installent autour du point d’eau, avec glacière et équipements, souvent de pointe, pour un pique-nique mémorable. Que l’on se pose, que l’on vogue ou que l’on vadrouille, le parc Inokashira est un immanquable du carnet de route spécial sakura.

Horaires

  • 24h/24

Tarification

  • Gratuit

Adresse

  • 1 Chome-18-31 Gotenyama, Musashino, Tokyo 180-0005

Le parc Sumida

Non loin du célèbre quartier d’Asakusa, le parc Sumida est une excellente alternative pour celles et ceux qui recherchent un cadre différent des parcs traditionnels. Longeant la rivière du même nom, le parc Sumida est l’écrin idéal d’une balade printanière teintée de rose. Les magnifiques cerisiers composent un cadre fabuleux pour les yeux, alors que la gigantesque Sky Tree pose fièrement au second plan, pour un contraste réussi. La floraison des sakura du parc peut être également appréciée depuis les nombreux bateaux de croisière qui voguent le long de la Sumida. Des illuminations sont mises en place chaque soir au printemps pour favoriser les moments de détente tardifs, passés à admirer la palette de couleurs qu’offrent les arbres en fleurs. Le décor est planté et la dégustation de karaage n’en sera que plus savoureuse. Au-delà des parcs de la capitale japonaise, de nombreux autres lieux exquis sont vivement recommandés pour admirer les sakura au printemps. Nous vous préparons encore de nombreux articles pour que votre expérience des cerisiers en fleurs en 2018 à Tokyo soit la plus réussie.

Horaires

  • 24h/24

Tarification

  • Gratuit

Adresse

  • 1–1 Hanakawado, Taito, Tokyo 111–0033

Et si votre amour pour ces fleurs vous incite à vagabonder à travers le Japon, notre sélection de “15 sites pour voir les cerisiers en fleurs au Japon” devrait vous être très utile. Il vous faudra alors penser à consulter la météo et les dates de prévision de floraison des sakura qui varient d’une région à l’autre. Dans tous les cas et où que vous soyez, vous ne serez certainement pas déçu par le spectacle qu’offrent chaque année au Japon les cerisiers en fleurs.

Génération Otaku

Départs:
Ce circuit comprend: Les services d\’un accompagnteur bilingue / les vols A/R en classe économique + taxes d\’aéroports / 8 nuits en maison japonaise + petits déjeuners / Le trajet Tokyo – Kyoto en bus de nuit
Ce circuit ne comprend pas: Les repas non mentionnés, les entrées aux sites, l\’assurance facultative, les transferts.
Déplacement: Bus
Mois de départ: Février Prix à partir de: 1450 € 
Thèmes: /// Accompagnateur français bilingue:

Offre spéciale vacances d\’hiver.
Un voyage de 10 jours (8 nuits sur place) avec un accompagnteur français/japonais pour découvrir Tokyo et Kyoto sans le moindre stress et à un tarif très abordable. 

PROGRAMME:

Jour 1: Vol vers l\’aéroport international de Tokyo. Repas et nuit à bord.

Jour 2: Transfert vers la gare de Ikebukuro puis vers la maison Ikebukuro.

Jours 3/4/5: Petit déjeuner à la maison. Visites et repas libres.

Jour 6: Petit déjeuner à la maison. Visites et repas libres. Transfert vers la gare de Tokyo avec votre accompagnateur, puis bus de nuit en direction de Tokyo.

Jour 7: Arrivée à Kyoto dans la matinée. Tranfert vers les maisons de Kyoto. Petit déjeuner. Visites et repas libres.

Jour 8/9: Petit déjeuner à la maison. Visites et repas libres.

Jour 10: Petit déjeuner à la maison puis départ pour l\’aéroport d\’Osaka avec votre acoompagnateur. Vol de retour, arrivée le même jour à PARIS CDG. Repas à bord.

Louer une maison au Japon

Une formule d’hébergement plus économique que l’hôtel

A partir de 70 euros par jour, l’offre de location de maisons proposée par voyjapon, souhaite s’ouvrir à tous les budgets, et offre enfin une alternative à l’hébergement hôtelier traditionnel.

Vivre à la japonaise dans une maison traditionnelle

Equipée « à la Japonaise », chaque maison, située dans un quartier de caractère – souvent historique – a été réhabilitée avec soin. Elle assure à ses habitants le meilleur confort disponible (été comme hiver) et permet d’y vivre comme à la maison.

Un séjour en toute sécurité grâce à notre concierge

Dès votre arrivée, un « concierge » vous accueille pour vous faire découvrir votre maison et son quartier.

Le concierge a été choisi par voyjapon pour sa gentillesse, son sens pratique, et son plaisir à faire partager la culture de son pays. Dès votre arrivée, il se consacre à vous faire découvrir l’organisation d’une maison traditionnelle japonaise, les commerces et restaurants du quartier, les produits du marché, les échoppes, le fonctionnement des transports en commun…

Au coeur de Kyoto pour découvrir le Japon à son propre rythme

Chacune des maisons a été choisie pour la qualité de son emplacement, à proximité des transports en commun, des commerces où l’on peut faire ses courses, de la facilité d’accès aux principaux sites à découvrir.

Le concept de l’offre est bien là : proposer la découverte d’un pays à son propre rythme, comme on l’entend, et partager cette expérience avec des gens que l’on choisit. Bien loin de la frénésie des circuits imposés, et des visites en horde organisées…

Un hébergement idéal pour un voyage à plusieurs

La proposition de Voyjapon convient particulièrement au voyage à plusieurs ou en famille, en raison :
– de son caractère économique, moins cher que l’hébergement hôtelier
– de la souplesse de vivre chez soi, où l’on peut organiser l’espace et son rythme à sa guise
– de la grande sécurité de Kyoto (et du Japon en général) et donc de la possibilité de laisser les enfants très autonomes.

Voyager au Japon entre tradition et modernité

Départs:
Ce circuit comprend: les vols réguliers Air france France-Tokyo/Osaka-France ; les visites inscrites inscrites au programme avec un guide francophone ; 6 petits-déjeuners et 4 déjeuners ; l\’hébergement en hôtels 3/4* ; les transports intérieurs mentionnés au programme
Ce circuit ne comprend pas: l\’assurance voyage ; les boissons pendant les repas ; les taxes aéroports
Déplacement:
Mois de départ: Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Prix: 2100 € 
Thèmes: Japon Traditionnel/Japon Moderne/

Un itinéraire classique et idéal pour un premier voyage au Japon si vous ne disposez que d\’une semaine. Une formule idéale entre voyage individuel et circuit organisé avec un départ garanti à partir de 2 personnes !

1er jour : France / Tokyo


Départ de Paris sur vols réguliers Air France ou Japan Airlines. Repas et nuit à bord.

2e jour : Tokyo


Arrivée à l’aéroport de Narita. Après les formalités d’immigration et le passage de la douane, accueil par un assistant anglophone. Transfert jusqu’à votre hôtel en Limousibe bus(sans assistance). Installation à votre hôtel (après 15h00).
Nuit au KEIO PLAZA HOTEL 4* ou équivalent.

3e jour : Tokyo


Petit-déjeuner à votre hôtel.
9h : départ pour une visite de Tokyo d’une journée avec guide francophone en transport privatisé : la tour de Tokyo, le Palais impérial, le quartier traditionnel d’Asakusa, la rue Omotesando, le quartier branché d’Harajuku. Déjeuner inclus. Retour à votre hôtel en métro en fin d’après-midi.
Nuit au KEIO PLAZA HOTEL 4* ou équivalent.

4e jour : Tokyo


Petit-déjeuner à votre hôtel.
Journée libre pour profiter de la capitale à votre rythme.
En option : journée d’excursion à Nikko en groupe avec guide anglophone. Déjeuner inclus.

5e jour : Tokyo / Hakone / Kyoto


Petit-déjeuner à votre hôtel. Transfert de vos bagages (1 valise maximum par personne) séparement.
Un guide francophone vient vous chercher à l’hôtel. Transfert en métro jusqu’à la gare de Shinjuku et départ pour Hakone par train express Odakyu.
A Hakone et dans les environs, croisière sur le lac Ashi, funiculaire jusqu’au Mont Komagatake, vallée Owakudani. Déjeuner japonais.
Transfert jusqu’à la gare d’Odawara ou Atami ou Mishima (et fin des services de votre guide) d\’où vous prendrez un train shinkansen direct pour Kyoto.
Un assistant anglophone vous attend à la sortie du train et vous accompagne à pied jusqu’à votre hôtel.
Nuit au NEW MIYAKO HOTEL 3* ou équivalent.

6e jour : Kyoto


Petit-déjeuner à votre hôtel.
09h : départ pour une visite de Kyoto d’une journée avec guide francophone en transport privatisé : temple Kinkakuji, château de Nijo, centre artisanal, sanctuaire Heain (sans entrée). Déjeuner buffet inclus.
16h00 : retour à votre hôtel et fin d’après-midi libre.
Nuit au NEW MIYAKO HOTEL 3* ou équivalent.

7e jour : Kyoto / Nara / Kyoto


Petit-déjeuner à votre hôtel.
Un guide francophone vient vous chercher à l’hôtel à 08h30 pour rejoindre à pied la gare de Kyoto
09h00 : départ pour Nara en train Kintetsu.
09h32 : arrivée à Nara et début des visites à 09h45 : temple Todaiji, sanctuaire Kasuga, parc aux daims.Déjeuner japonais inclus.
14h35 : départ pour Kyoto et arrivée à 15h10
Après-midi libre.
Nuit au RIHGA ROYAL HOTEL ou NEW MIYAKO HOTEL

8e jour : Kyoto / France


Petit-déjeuner à votre hôtel.
Un représentant anglophone de notre réceptif vient vous chercher à l\’hôtel, vous accompagne jusqu\’à la gare de Kyoto et vous assiste pour prendre le Limousine Bus assurant votre transfert jusqu’à l’aéroport d’Osaka.
Arrivée en France le même jour.